1 juillet 2005
Banque route
Le débat Bernard Maris vs Jean-Marc Sylvestre (France Inter) fut particulièrement instructif.
Sujet la privatisation des sociétés d'autoroute
Bernard Maris commence (en résumé).
"Les entreprises publiques françaises vont très bien. Il y a trois qui sont particulièrement fructueuses ce sont les trois société d'autoroute qui rapportent en tout 650 millions d'Euro net chaque année.
Pourquoi les privatiser puisqu'elles rapportent au contribuable ?
Il faut savoir qu'avant de partir de Robien, avait créé une Agence de financement des infrastructures de transport destinée aux projets de ferroutage, aux développements de ligne de TGV bref aux modes de transports alternatifs à l'automobile. Et cette agence devait être financé par ses bénéfices."
La réponse de Jean-Marc Sylvestre est à la hauteur de son talent.
"Ce n'est pas de l'économie c'est la Da Vinci code appliqué à la gestion des autoroute qu'il nous raconte" c'est l'hôpital qui se fout de la charité mais passons.
La vraie réponse il la fournira plus tard :
"L'état n'a rien à faire dans la gestion des autoroutes. Que l'état s'occupe de l'éducation, de la sécurité, de la justice…"
A bon ? On renonce à privatiser l'éducation, la police, l'armée et la justice ? Ou plutôt, privatisons les routes, les chemins de fer, l'électricité et le gaz d'abord et on verra après.
Sujet la privatisation des sociétés d'autoroute
Bernard Maris commence (en résumé).
"Les entreprises publiques françaises vont très bien. Il y a trois qui sont particulièrement fructueuses ce sont les trois société d'autoroute qui rapportent en tout 650 millions d'Euro net chaque année.
Pourquoi les privatiser puisqu'elles rapportent au contribuable ?
Il faut savoir qu'avant de partir de Robien, avait créé une Agence de financement des infrastructures de transport destinée aux projets de ferroutage, aux développements de ligne de TGV bref aux modes de transports alternatifs à l'automobile. Et cette agence devait être financé par ses bénéfices."
La réponse de Jean-Marc Sylvestre est à la hauteur de son talent.
"Ce n'est pas de l'économie c'est la Da Vinci code appliqué à la gestion des autoroute qu'il nous raconte" c'est l'hôpital qui se fout de la charité mais passons.
La vraie réponse il la fournira plus tard :
"L'état n'a rien à faire dans la gestion des autoroutes. Que l'état s'occupe de l'éducation, de la sécurité, de la justice…"
A bon ? On renonce à privatiser l'éducation, la police, l'armée et la justice ? Ou plutôt, privatisons les routes, les chemins de fer, l'électricité et le gaz d'abord et on verra après.
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