21 avril 2005
Dyslexie chorégraphe
Avec la FCPE locale, nous préparons une soirée débat sur la dyslexie.
C'est une maladie fascinante puisqu'en montrant certains disfonctionnement du cerveau on en admire davantage la complexité.
Pour les anciens, il est bon que je répète: la dyslexie est une maladie. Dans ma jeunesse, elle était considérée comme un symptôme. Aujourd'hui, on peut mettre en évidences les disfonctionnement qu'elle cause dans un cerveau.
Ça semble difficile pour une personne non atteinte de comprendre comme ça fonctionne, puisque la personne peut avoir une diction parfaite, une grande intelligence et ce montrer incapable de lire et d'écrire.
Une des conférencières que nous avons jointe est d'ailleurs dans ce cas. C'est quelqu'un qui fascine les foules quand elle parle, mais il vaut mieux lui téléphoner car il lui faut plusieurs dizaines de minutes pour écrire un mail.
Depuis que je m'intéresse de plus prêt à cette question, j'ai réfléchis à ce que ma douce m'a dit un jour : la plupart de mes ennuis scolaires viennent probablement de ma dyslexie apparemment pas suffisamment profonde pour m'empêcher d'écrire, mais suffisamment pour générer un nombre de fautes d'orthographe dont vous ne voyez que la partie immergée que Word laisse passer.
Mais il m'arrive de voir une faute quand je me relis. Souvent je suis surpris d'avoir écrit ça. Hier par exemple j'ai voulu écrire "il sait" et j'ai écris "il c'est" tout en étant persuadé d'avoir écrit le verbe savoir.
Quand je vous disais que c'était étonnant…
PS à Suzanne : je corrige de plus en plus souvent un peu(t). On va y arriver.
C'est une maladie fascinante puisqu'en montrant certains disfonctionnement du cerveau on en admire davantage la complexité.
Pour les anciens, il est bon que je répète: la dyslexie est une maladie. Dans ma jeunesse, elle était considérée comme un symptôme. Aujourd'hui, on peut mettre en évidences les disfonctionnement qu'elle cause dans un cerveau.
Ça semble difficile pour une personne non atteinte de comprendre comme ça fonctionne, puisque la personne peut avoir une diction parfaite, une grande intelligence et ce montrer incapable de lire et d'écrire.
Une des conférencières que nous avons jointe est d'ailleurs dans ce cas. C'est quelqu'un qui fascine les foules quand elle parle, mais il vaut mieux lui téléphoner car il lui faut plusieurs dizaines de minutes pour écrire un mail.
Depuis que je m'intéresse de plus prêt à cette question, j'ai réfléchis à ce que ma douce m'a dit un jour : la plupart de mes ennuis scolaires viennent probablement de ma dyslexie apparemment pas suffisamment profonde pour m'empêcher d'écrire, mais suffisamment pour générer un nombre de fautes d'orthographe dont vous ne voyez que la partie immergée que Word laisse passer.
Mais il m'arrive de voir une faute quand je me relis. Souvent je suis surpris d'avoir écrit ça. Hier par exemple j'ai voulu écrire "il sait" et j'ai écris "il c'est" tout en étant persuadé d'avoir écrit le verbe savoir.
Quand je vous disais que c'était étonnant…
PS à Suzanne : je corrige de plus en plus souvent un peu(t). On va y arriver.
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